Depuis quelques années, j’entends et je vois des articles louant le fait de : « sortir de sa zone de confort » 

Certains auteurs ont même écrit plusieurs livres à ce sujet.

Et, bien souvent, cela devient LA solution qui est mise de l’avant lorsqu’une personne éprouve un mal-être, parait « s’encrouter », s’interroge sur son avenir… Il y a alors comme une pression sociale, nous « incitant » à « sortir de là car c’est la meilleure chose à faire ».

« Il ne faut pas que tu restes comme ça ! »

Et à chaque fois, je ressens un certain malaise… Comme devant tout diktat, énoncé comme une vérité et devant lequel nous devrions plier !

Je crois que toute personne a le droit de choisir ce qui lui convient le mieux – dans les limites de la liberté et du respect de l’autre – et qu’il n’y a pas de recette universelle.

Sortir de sa zone de confort est un moyen, une solution parmi tant d’autres.

Pour moi, face à ce genre de problématique, il ne devrait y avoir aucune obligation ! 

Ce n’est pas : Il FAUT.

Cela devrait être un choix, une décision réfléchie, voulue, acceptée.

Même si parfois les évènements de la vie nous poussent malgré nous dans d’autres sphères, habitudes, vie.

Mais là encore, nous avons le choix de l’accepter ou résister, profiter de cette opportunité et nous laisser porter par la vague ou, au contraire, s’accrocher à ce que nous connaissons, ce qui nous définit, ce que nous désirons perpétuer.

Il n’y a pas un unique modèle, une seule façon de se positionner … et tant mieux !

Par contre, quelle que soit votre réalité, il y a une certitude en lien avec tous les êtres vivants et plus particulièrement les humains : nous allons – que nous le voulions ou pas – nous développer, apprendre, nous retrouver face à l’inconnu …

Cela fait partie de manière intégrante à nos vies, de notre développement, notre évolution.

On ne peut pas ne pas changer !

photographie de personnes à différents stades de leur vie

Et donc, nous sommes soumis, volontairement ou non, de manière consciente ou non à des changements : physiologiques, professionnels, mentaux, relationnels, géographiques, culturels… 

J’en oublie certainement !

Ces « mutations » nous sortent souvent de notre « zone de confort », qui, elle fait partie de notre vécu. 

De mon point de vue, cela commence dès notre venue au monde ! Et cela se poursuit tout au long de notre vie.

Mais qu’est-ce que la zone de confort ?

Définition 

Ce nom est très évocateur !

Si vous allez sur le net, vous aurez plusieurs définitions :

« La zone de confort se définit par un état psychologique dans lequel une personne se sent à l’aise» 

« La zone de confort est, par définition, un espace de sécurité intérieure. C’est un état psychologique où l’on ressent un bien-être certain et un contentement relativement affirmé. »

deux personnes assises confortablement chez eux dans leur zone de confort

« La zone de confort est un ensemble d’habitudes que nous entretenons. Ce sont à la fois des comportements que nous répétons et qui nous rassurent. Mais ce sont également des pensées et des schémas cognitifs que nous perpétuons sans les changer, ni les remettre en cause. »

Donc, ce qui est décrit est un état où nous nous sentons bien, un comportement qui nous procure un certain bien-être, une sécurité intérieure, une légèreté.

Le problème, avec toutes ces définitions, c’est qu’elles sont toutes suivies d’une mise en garde.

« Si elle permet de tenir à l’écart le stress et la peur, elle ne permet cependant pas de vivre pleinement sa vie. »

« Mais parfois, il est nécessaire d’en sortir pour s’enrichir de nouvelles compétences et faire face aux évolutions de son environnement. »

« Ces habitudes comportementales et cognitives peuvent d’ailleurs finir par nous emprisonner en nous séparant d’un environnement qui nous paraît hostile. »

Réflexions

C’est cette 2ème partie de la définition qui me met mal à l’aise. 

Car cela implique ou sous entends que nous devons forcément sortir de notre zone de confort.

Rester dans sa zone de confort n’est pas très bien considéré par la société : cela renvoie à la rigidité, à l’ennui, au conformisme, à l’immobilisme, voire même à la mort. 

Pourtant il peut y avoir des périodes dans nos vies de mal-être, de questionnements, de doutes, qui ne demandent pas forcément une sortie de zone.

Et se remettre en question ne veut pas dire forcément changement radical.

Il est alors tentant de (se) trouver des excuses (manque de temps, manque d’énergie, etc) plutôt que d’assumer qu’on aime son confort et ses petites habitudes. 

Nous sommes dans un état, une manière de fonctionner où nous nous sentons à l’aise, en sécurité, où il y a peu de risques et cela peut tout à fait nous convenir.

Donc, et c’est important de le réaliser, il n’y a pas d’obligation, ni de loi nous intimant d’en sortir.

Paradoxe

Par contre, si nous réfléchissons bien à notre parcours de vie, nous sommes régulièrement dans le changement et la sortie de zone.

Nous le vivons continuellement et ce, depuis notre naissance !

bébé qui vient de naitre et qui sort de sa zone de confort

Lorsque le bébé qui est bien au chaud dans le ventre de sa mère, baignant tranquillement dans le liquide amniotique, protégé des sons, des lumières, des températures variées et variables, (pour ne citer que ces éléments), décide de venir au monde, il sort réellement de sa zone de confort.

Il est confronté à l’air et au devoir respirer en utilisant ses poumons, il est agressé par les lumières, le bruit, les voix, le froid, …

Il atterrit dans un monde inconnu et doit d’un seul coup apprendre à respirer, manger, s’adapter à ce nouveau monde…

Une belle sortie de zone !

Lorsque :

  • nous quittons notre environnement habituel pour nous retrouver en crèche ou en garderie, dans une nouvelle école, une nouvelle classe avec un nouvel enseignant.
  • nous nous joignons pour la 1ère fois à une équipe sportive, artistique ou autre
  • nous déménageons et/ou changeons de quartier, de ville, de pays
  • nous quittons un emploi pour retourner aux études ou aller vers d’autres opportunités professionnelles
  • nous appliquons de nouvelles connaissances, de nouveaux acquis 
  • nous laissons notre état de célibataire pour se mettre en couple
  • nous décidons de nous séparer ou divorcer
  • nous changeons nos croyances, rejetons des dogmes, des principes ou nous en acquérons de nouveau
  • etc

de mon point de vue, dans tous ces cas, nous sortons de notre « zone de confort ». Cela fait partie de notre évolution, comme de grandir, vieillir, se modifier morphologiquement avec l’âge.

Et parmi ces « évolutions », certaines peuvent être choisies, décidées, imposées ou nécessaires.

Les différentes « sorties »

1- Sorties imposées 

annonce des inscriptions pour la prochaine rentrée 2023-2024
  • Vous êtes un enfant, un ados et vos parents décident « ce qui est bon pour vous ». Ce n’est pas forcément votre envie, ni ce qui vous met le plus à l’aise.

Exemples : changer d’école, être inscrit à une activité, un camp de jour, participer à un spectacle, etc…

  • Vous êtes en couple et l’autre vous impose une séparation
  • Vous vivez un accident, un problème de santé qui change la donne de votre quotidien
  • On vous mute dans un autre service, vous vous retrouvez licencié, à la retraite anticipée, …

Dans toutes ces situations, il y a un phénomène extérieur qui nous bouscule, nous pousse et nous « oblige » – malgré nous – à nous adapter, acquérir de nouvelles habitudes, repenser notre vie. 

Bien que certains résisterons et tenterons de maintenir de continuer de « vivre comme avant ».

Cela peut s’accompagner de peurs, d’incertitudes, mais aussi d’espoir, d’excitation, selon les circonstances.

2- Sorties décidées 

À tous moments de notre vie, nous pouvons choisir de faire les choses autrement, se lancer dans une direction plutôt qu’une autre.

  • Vous avez envie d’acquérir de nouvelles connaissances
  • Vous désirez vivre de nouvelles expériences, élargir votre vision, rencontrer de nouvelles personnes.
  • Vous voulez sortir d’une routine, un train-train monotone …
  • Vous aspirez à vous développer, vous avez un désir de croissance

médiagraphie qui représente les aspirations

Pour se faire, vous mettrez en place un processus, des étapes, un objectif.

Et comme cela vient souvent après une réflexion, un besoin qui s’est manifesté, une opportunité qui s’est présentée, c’est parfait.

Attention, toutefois, de bien réfléchir à ses changements.

Quelque fois sous le coup de l’émotion, par réaction ou opposition, nous nous lançons dans une aventure sur un coup de tête, sans prendre le recul nécessaire ou les précautions suffisantes.

3- Sorties vitales 

un tsunami qui s'abat sur des maisons

  • Vous subissez un tsunami, un méga incendie, une tornade et vous devez quitter votre logement, votre territoire, votre quartier, vous perdez tout ou devez tout abandonner, …
  • Vous réalisez que vos comportements, habitudes, style de vie, ne vous correspondent plus, ne vous conviennent plus. Vous vous sentez comme étouffé, pris dans un engrenage. Vous éprouvez un vide dans votre vie, de l’insatisfaction, de l’ennui « mortel », déprimant, …
  • Vous avez vécu un évènement traumatisant, votre vie ou celle d’un proche a été en danger, et toutes vos valeurs, principes ou croyances sont remis en question

Restez dans votre quotidien n’est plus possible. Vous n’avez plus les mêmes repères, votre monde tel que vous le connaissiez vient de s’écrouler, a disparu ou ne vous correspond plus !

Il devient alors vital pour vous d’opérer un changement. 

On parle de virage à 180 degrés, comme un changement de carrières, de mission de vie, de vision.

C’est assez radical, cela ressemble à une « re-naissance », mais aussi à une fuite en avant.

Là encore, éviter de prendre des décisions essentielles dans l’émotion, la fragilité du moment peut être une erreur.

Je connais une personne qui a acheté une maison dans une période de faiblesse émotionnelle et qui finalement, ne l’a jamais habitée et l’a revendue peu après.

Caractéristiques des changements

Comme je l’ai souvent dit et écrit, il n’y a pas de vie sans aléas, difficultés, problèmes.

Et donc, que nous le voulions … ou non ! nous pouvons être confrontés à effectuer des aménagements, des adaptations, dans nos vies et ce, quelques soient les raisons qui nous amène à ces « sorties ».

Et cela va prendre un certain temps (qui peut être plus ou moins long, selon les circonstances et votre état d’esprit) ainsi qu’un processus assez général.

médiagraphie qui montre les étapes de changement de la zone de confort à la zone de croissance

Donc, autant le faire le plus simplement possible en sachant ce qui va se passer.

1- Les peurs face aux changements 

un femme qui semble inquiète

Tout changement peut amener des peurs, dont les principales : la peur de l’inconnu ou de l’échec.

Regardez ce qui se passe quand, dans une entreprise, la direction annonce (ou impose) des changements au sein des différents départements, équipes, modes de fonctionnement.

Il y a souvent de la « résistance », des craintes avouées et/ou tues, des sentiments d’insécurité qui surgissent.

Pensez à vous lorsque vous avez été dans une nouvelle école, équipe, ville, activité… 

Lorsque vous avez appris à conduire, que vous avez pris l’avion, le bateau, le trainet voyager loin,  seul…,

que vous êtes lancé en affaires avec toutes les embuches que cela comporte, que vous êtes devenus parents,…

Peu de personne amorcent une situation inconnue qui représente un enjeu pour elle-même et/ou leur entourage sans un peu (beaucoup ?) de stress, remise en question, doutes.

Il devient alors nécessaire d’avoir le courage de franchir le pas, d’être assez motivé pour avancer et d’avoir assez d’estime de soi pour « affronter » ce challenge et les échecs possibles !

Car ces peurs peuvent être des freins.

Je me souviens de mes premières leçons de tennis, dans un milieu que je ne connaissais pas et avec une maladresse épouvantable accentuée par le stress…

J’étais incapable de rattraper une seule balle, ni d’en envoyer une correctement.

Je me sentais nulle, mal à l’aise, pas à ma place et j’aurais voulu me cacher dans le sable !

2- L’apprentissage

Suite à cette 1ère étape de remise en question, si vous persévérez, vous améliorerez vos résultats, vous serez plus à l’aise dans vos nouvelles tâches ou nouvel environnement, vous gagnerez une meilleure aisance.

Bien sûr, entre 2, vous vivrez des ratés, des échecs. 

Vous devrez recommencer maintes et mainte fois certains exercices, apprentissages, cours.

un homme qui apprend à une femme à faire du tennis

Donnez-vous la permission d’échouer (car cela fait partie de tout apprentissage), surmontez votre égo et votre perfectionnisme.

Revoyez vos 1ers pas dans un nouvel emploi, une nouvelle compagnie, un nouveau département.

Pensez à vos leçons de conduite, à vos cours de : danse, karaté, poterie, violon, … 

Alors que vous vous sentiez tellement malhabile au début, plus vous pratiquiez, plus vous progressiez, plus vous étiez à l’aise, plus ça devenait facile et plus vous éprouviez du plaisir 

Pour en revenir à mes « exploits » en tennis, il m’a fallu atteindre la 10ème leçon pour que je commence à mieux rattraper des balles et mieux les lancer et surtout, que je ressente l’énergie des balles et m’en servir plutôt que ma force musculaire.

Tout un changement !

Et quel plaisir de découvrir cet atout !

3- Le nouveau bien-être

une femme qui sourit assise dans l'herbe

La 3ème étape de ce processus sera d’atteindre un niveau d’acquis, de réflexe, de connaissances suffisant pour ressentir de l’aisance, du bien-être et se retrouver dans … une zone de confort ! ;-) 

Vous n’avez plus de crainte en pensant à …, vous sentez que vous maîtrisez la situation, le sujet, vous vous sentez plus léger, comme si vous aviez toujours su.

Je ne sais pas pour vous, mais lorsque j’ai pris mes 1ères leçons avec un moniteur d’auto-école, j’étais contractée, je transpirais, je devais me concentrer +++ pour arriver à « tout » faire en même temps : embrayer, passer la vitesse, débrayer, regarder dans le rétro, mettre le clignotant, tourner le volant, appuyer sur l’accélérateur, contrôler ma vitesse, rouler à droite (et pas au milieu de la route !) …

C’était la 1ère étape.

J’ai suivi mes cours, devenant plus décontractée, à l’aise au fur et à mesure et j’ai passé mon permis. J’ai alors commencé à véritablement apprendre à conduire… en pratiquant le plus possible et en étant confrontée à toutes les circonstances possibles et imaginables !

C’était la 2ème étape.

Au jour d’aujourd’hui, c’est devenu un plaisir, un épanouissement, un moment de bonheur (J’aime toujours beaucoup conduire) et un réflexe.

J’ai même pu l’enseigner à mes enfants !

C’est comme une 2nde nature qui fait en sorte que je suis détendue (tout en restant vigilante), j’écoute de la musique, je parle à mes passagers, je pense à mes différents dossiers en cours, je regarde le paysage et savoure les beautés de la nature que je découvre

J’ai atteint la 3ème étape.

Mais si jamais, je devais conduire à gauche, comme en Angleterre, je devrais recommencer le processus.

Certes, il serait plus rapide, moins ardu, moins laborieux, mais je passerai par les mêmes étapes !

Les atouts pour sortir de sa zone de confort

Pour que ces changements de vie (ou sortie de zone comme certains veulent l’appeler) se fassent le mieux et le plus surement possible, il y a souvent besoin de différents « appuis ».

1- Se donner un objectif 

Cela signifie que ce but doit respecter certaines règles comme être réaliste et réalisable, contextualisé, vérifiable, écologique… 

Vous avez besoin de réfléchir à ces différents aspects et les vérifier un par un pour mieux assurer le succès de votre but.

Toute décision « fondamentale » demande temps, réflexion, recul.

médiagraphie qui symbolise avoir un objectif

2- Faire de la visualisation

une femme qui pratique la visualisation pour sortir de sa zone de confort

En parallèle avec votre travail d’objectif, vous pouvez (et je vous invite à l’utiliser dans tous les domaines de votre vie), visualiser cette cible que vous vous êtes donnée ainsi que les étapes pour y arriver.

Mais aussi y ajouter les ressentis de fierté, bonheur, joie, … d’accomplir et réussir chacun des pas que vous allez exécuter.

3- Se donner des soutiens

Être seul, autonome, actif…c’est bien.

Savoir se faire aider, conseiller, superviser, c’est mieux !

Avoir un regard extérieur, d’autres points de vue, idées, pistes de solution, …

Ce sont des plus à ne pas négliger, ni à mettre de côté.

Pensez de solliciter votre entourage !

une femme qui en consultation avec un spécialiste pour sortir de sa zone de confort

4- Utiliser ses expériences passées

Comme je vous l’ai partagé plus haut, vous avez maintes et maintes fois dans votre vie eu l’occasion, consciente ou non, de sortir de votre zone de confort.

Par exemple, lorsque : 

  • Une personne inconnue vous a abordé dans la rue, lors d’un évènement pour vous demander une information, se présenter, vous transmettre un élément et que ça s’est bien passé, alors que votre tendance naturelle serait d’éviter ce genre de situation 
  • Vous avez débuté une nouvelle activité sportive, artistique, de bénévolat, etc …, inconnue pour vous jusqu’alors et tout s’est bien déroulé
  • Vous avez testé une nouvelle route, un nouveau restaurant, un nouveau programme informatique, … et ce que vous avez découvert vous a plu

Repensez à toutes ces expériences et servez-vous des acquis, des connaissances, de la sécurité ou autre que cela vous a donné.

Conclusion 

un homme qui sort de sa zone de confort

Les changements de vie sont pour la plupart naturels et progressifs.

Ils font partie de notre existence.

Il est important de connaître et vivre des moments de bien-être, de sécurité, de confiance en soi.

Il est tout aussi important de savoir progresser, évoluer, s’adapter.

Choisir ou subir ces transitions, cela nous appartient !

C’est notre choix, pas une obligation.

Par contre, soyez vigilant à ne pas vous freiner, vous empêcher de progresser, faire des acquis. 

Car si vous n’avancez pas dans votre vie, vous allez régresser, le reste du monde continuant d’avancer.

Sachez « dédramatiser », relativiser, minimiser ces passages, et les voir comme des opportunités.

Et dites-vous qu’il y a des tas de manières d’avancer, progresser et qu’en prenant des risques « calculés, vous augmenterez votre potentiel.

JA


Vous pourriez apprécier ces articles:

Jacqueline ARBOGAST

contact@jarbogast.com
Auteure, coach, conférencière, formatrice, thérapeute

Ma mission est d’inspirer le plus de personnes à rebondir et bien vivre leur vie !

Pensez de partager cet article ! Il peut être utile à d’autres.
Merci d'avance pour eux.

Bénéficiez en tout temps de mes conseils
À travers mes livres et e-books
  • Le dico pour des relations saines

  • Les saboteurs sont parmi nous

  • Comment combattre la procrastination

  • Pour des relations saines au travail

1 réflexion sur “Pourquoi il ne FAUT pas sortir de sa zone de confort !”

  1. Ping : Savez-vous quels sont les principaux obstacles d’un objectif ? - Stratégies Évolution

Laisser un commentaire

E-book gratuit

 Des techniques concrètes et soutenues par 20 ans d'expériences sur le terrain en tant que coach, conférencière, formatrice agréée et psychothérapeute

E-book gratuit

 Des techniques concrètes et soutenues par 20 ans d'expériences sur le terrain en tant que coach, conférencière, formatrice agréée et psychothérapeute

Retour en haut